Adaline Lewis

 

Caractère&Physique C’est difficile de se décrire soi-même. Enfin, je veux dire que je ne suis surement pas là mieux placée pour vous parler de moi. Parce que j’imagine que vous ne me croirez pas si je vous dis que je suis parfaite, gentille, souriante, intelligente, douce et protectrice. Ouais, voilà, parfaitement parfaire. Non, je m’en doutais bien. En fait, c’est plutôt l’inverse. Je suis parfaitement imparfaite. Les gens disent de moi que je suis une adorable peste. En fait, je ne suis pas vraiment une peste, au contraire. Mais disons que j’aime m’amuser, que j’aime me moquer – pas trop méchamment quand même – et que je peux parfois avoir un peu de caractère. Des humeurs, tout ça. Ce que je préfère chez moi c’est mon optimisme. Je vois toujours le verre à moitié plein et j’essaie toujours de tirer du positif de chaque situation. Même quand elles paraissent désespérées. Ok, parfois, je l’avoue c’est vrai dur. Et parfois, je suis fatiguée aussi. Alors oui, ça m’arrive aussi de baisser les bras et de me rouler en boule sous ma couette pour pleurer. C’est normal, non ? Je ne suis pas quelqu’un de foncièrement méchant, je n’aime pas spécialement me battre mais si jamais il le faut, je n’hésite pas à répondre. Et bon, peut-être qu’à ce moment-là, je peux devenir une peste. Je n’ai pas peur de dire ou de faire les choses qui doivent être faites, c’est comme ça. Mais bon, la plupart du temps je suis mignonne. Je pense que je suis quelqu’un de fiable et de fidèle, je m’attache facilement aux gens et je suis assez protectrice. Il ne faut pas se fier à mon apparence. J’ai une taille normale pour une fille, mais je suis un peu frêle. Heureusement, les années passées sur un balai m’ont permis d’acquérir un peu de muscle et de force aussi. Mais je sais aussi que parfois je peux être égoïste et ne penser qu’à moi. C’est difficile de changer certaines choses, certaines façons d’être. Je ne me vois pas comme quelqu’un de très intelligent – pas que je sois bête, hein – mais plutôt comme quelqu’un d’ingénieux, qui s’adapte facilement. Je ne suis pas une acharnée du travail et j’avoue que je sélectionne les matières dans lesquelles je travaille. L’histoire de la magie, c’est sympa, mais essayez de rester éveillé en cours et on en reparlera, ok ? Je fais quand même des efforts pour rester entre la moyenne et les bons élèves. Je préfère de loin les moments de détente, les temps libres, l’amusement. Même s’il faut enfreindre le règlement. En fait, c’est encore mieux s’il faut l’enfreindre. Ceci dit, je veille à ne pas mettre en danger les gens avec qui je suis. Toujours les protéger, prendre soin d’eux. Ils sont plus importants pour moi, que moi-même. Enfin, la plupart du temps. Et le quidditch. Ça, pas de problème de ce côté-là, je suis toujours la première sur le terrain et la dernière à le quitter. Bref, je ne suis pas vraiment passionnante comme fille, mais je suis comme ça et ce que vous en pensez ça ne m’intéresse pas vraiment au final. Que ce soit sur mon caractère ou mon physique. Oui, parce que j’entends bien certaines filles dire que je suis banale avec mes cheveux bruns et mes yeux marrons. Mais moi, mes cheveux ne frisent pas quand le taux d’humidité passe la barre des 10 %.

Anecdotes diverses » Tout le monde m’appelle Lili. » Mes parents ont découvert que j'étais une sorcière quand j'ai accidentellement brûlé les cheveux de la fille de notre voisine quand j'étais enfant. Elle m'avait volé ma poupée. Heureusement, elle n'a rien eu de grave. » Un peu avant d'entrer à Poudlard, des enfants de mon quartier m'ont enfermée dans le coffre d'une voiture. J'ai passé quelques heures enfermée dedans à hurler pour que quelqu'un vienne me sauver.  » Je suis toujours à l'origine des batailles de purée, d'oreiller et autres trucs du genre.  » Ma couleur préféré est le jaune, la couleur du soleil. J'adore les dragées surprises de Bertie Crochue, même les goûts immondes, ça me fait toujours rire. » Je joue de la flûte traversière et je joue au quidditch.  » La métamorphose est mon cours préféré. L'histoire de la magie est celui que je déteste le plus. Même le cours de potion dispensé par Rogue est plus marrant.  » Quand j'ai choisi mes options, j'ai choisi d'essayer l'arithmancie en plus de l'étude des runes et le soin aux créatures magiques. J'ai assez vite abandonné l'arithmancie, je suis définitivement une quiche en calculs complexes. J'aime les choses simples dans la vie    » Je suis hyper gourmande particulièrement de sucré. Mais parfois, je fais des mélanges et des expériences. Malheureusement, le plus souvent cela se solde par des échecs.  » J'aimerais bien avoir un ou des tatouages un jour mais je n'ai pas encore décidé du motif. Je change tout le temps d'avis, ce qui me pousse à repousser à chaque fois. Ou sinon, il faudrait que j'apprenne un sort pour le modifier !  » J'ai jeté le prince charmant à la poubelle quand j'avais 6 ans - littéralement j'ai poussé mon amoureux dans les sacs poubelles de notre rue. A la place, j'ai adopté mon ours en peluche. Bon, depuis, disons juste que le prince charmant n'est toujours pas revenu dans ma vie.    » Je suis peut-être un peu trop protectrice envers mon frère. Mais j'assume.  » Je n'ai pas cru Potter quand il nous a annoncé le retour de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Je ne l'ai pas humilié, mais je ne l'ai pas défendu non plus. Cependant face à Ombrage, j'ai rejoint l'AD juste pour le plaisir d'enfreindre son règlement. Quand Il est revenu, j'ai juste fait un peu le dos rond, présenté des excuses et je me suis rangé dans le bon camp. » J'ai un petit écureuil de corée que mon père m'a ramené il y a deux ans. Il s'appelle Ips et c'est un sacré emmerdeur.

 
 

Raconte-moi ton histoire

J’étais à la bibliothèque, désespérément penchée sur un devoir d’histoire de la magie, quand le gallion de l’AD s’est mis à chauffer dans ma poche. C’est étrange, je ne saurais expliquer pourquoi la pièce d’or était restée dans ma poche tout ce temps. D’autant plus que j’étais persuadée qu’il ne me servirait plus jamais. C’est surement pour ça que j’ai rejoint ceux de l’AD qui se réunirent ce soir-là, parce que je pensais que c’était assez urgent pour qu’ils nous appellent. Je fus surprise de ne trouver qu’une poignée de personne. Trop peu à mon goût, surtout une fois avoir entendu les explications d’Hermione. Mais je suis restée. Pour protéger les autres et surtout mon frère. C’était l’occasion de mettre en œuvre tout ce que l’on avait appris l’année précédente et en cours d’année. J’ai aidé certains autres à surveiller la salle sur demande. La poudre d’obscurité instantanée du Pérou est à la fois la chose que j’adore et que je déteste le plus au monde. Car elle a permis aux mangemorts de sortir de la salle sur demande alors que nous aurions peut-être pu les retenir s’ils n’en avaient pas eu. Ma mère me répète sans arrête que je ne dois pas regretter si je me suis donnée à fond. Et qu’on ne peut pas modifier le passé seulement apprendre de ses erreurs. Je retiendrais bien cette leçon. Mais il est plus dur de ne pas regretter. De ne pas se dire que si nous avions pensé à cette possibilité, peut-être les choses se seraient déroulée autrement. Heureusement, des membres de l’ordre du Phénix étaient là. Je ne connaissais pas l’ordre, je l’ai découvert ce jour-là. La bataille a été rude. Certains mangemorts balançant des sorts dans tous les sens sans vraiment prendre le temps de viser. Que l’on soit tous toujours vivants me paraît encore aujourd’hui un vrai miracle. Enfin, tous…

« Dumbledore est mort… » Nous nous remettions à peine des affrontements ayant eu lieu dans le château. Mon frère fut la première personne à laquelle j’ai pensé lorsque le calme est revenu dans le château. Alors je l’ai cherché. C’est comme ça que je me suis retrouvée dehors, happée par la foule des élèves qui semblaient tous se précipiter vers une terrible nouvelle. Et là, à l’orée du cercle dessiné autour de l’homme inanimé, j’ai pris conscience de la tragédie qui s’était abattue sur le monde des sorciers. Pas seulement sur lui, pas seulement sur Poudlard. Le dernier rempart qui se dressait contre le seigneur des ténèbres était tombé et nous n’avions rien pu faire pour l’empêcher. Ce fut aussi terrible que perturbant. Terrifiant. Ma vie a changé cette nuit-là. Fini la vie de la petite sorcière que j’étais.

Je suis née à Londres, à l’hôpital Sainte Mangouste et j’ai grandi en banlieue de Londres. J’ai passé une enfance douce et paisible. J’étais une enfant souriante, très curieuse et un peu agitée. Mais hormis quelques chutes et quelques contusions, je n’ai jamais eu à me plaindre. 3 ans après ma naissance, mes parents sont revenus avec un autre bébé à la maison. Un petit frère. J’étais un peu trop petite pour le comprendre. Mais j’ai bien compris que mes parents ne s’occupaient plus exclusivement de moi et qu’ils me poussaient à grandir plus vite. Parce que mon petit frère lui ne pouvait pas faire les choses par lui-même. Mais ils m’impliquaient aussi : parfois, j’avais le droit de tenir le biberon quand il mangeait ou je pouvais lui choisir des jouets, je pouvais même jouer avec. Je n’ai que peu de souvenir des premiers mois de vie avec lui mais j’imagine qu’ils ne se sont pas si mal passés que cela puisque nous nous supportons encore aujourd’hui. Nos parents étaient des sorciers, ils ne nous l’ont jamais caché. Cela nous a appris à garder les secrets, cela a renforcé notre cohésion familiale. Encore plus quand j’ai accidentellement mis le feu à la fille de notre voisine. Sans briquet. Ayant passé toutes nos vacances dans la maison de campagne de notre famille située dans la région de Suffolk en Angleterre, j’ai passé mon enfance sur un balai à apprendre avec mon père le quidditch. C’est lui qui nous a transmis sa passion à mon frère et à moi. Ma mère, elle, nous a appris d’autres choses. La lecture, la musique, la peinture et tout un tas d’autres choses pour nous rappeler que la vie ne se limitait pas au sport. Elle nous a ouvert l’esprit en quelque sorte. Oui, c’était une vie douce.

Et elle a continué avec mon entrée à Poudlard. Le choixpeau m’a envoyé à Gryffondor. Ma vie à l’école des sorciers a débuté. Beaucoup de travail pour quelqu’un n’aimant pas spécialement travailler. Et beaucoup de choses remises au lendemain. Encore et encore. Mais malgré cela, j’arrivais à m’en sortir, travaillant juste assez pour être entre la moyenne et les bons élèves. Me faire des amis n’a pas été difficile et continuer à profiter de la vie pour m’amuser non plus. Il y avait toujours des gens prêts à participer à tout et n’importe quoi. J’ai passé les sélections de quidditch pour entrer dans l’équipe dès que j’ai pu. Le poste d’attrapeur étant déjà pris, j’ai intégré l’équipe comme poursuiveuse. Nous n’avons pas eu une seule année paisible. Il y a eu la pierre philosophale d’abord, la chambre des secrets, puis Sirius Black. Trois incidents qui heureusement n’ont pas faits de mort. Cela nous a fourni un certain nombre d’histoire à nous raconter au coin du feu le soir avant d’aller dormir. Durant ma quatrième année, le tournois des trois sorciers a été organisé. Comme il était gryffondor, j’ai soutenu Harry comme champion de Poudlard. Et la fin a été tragique. Mais j’avais du mal à comprendre et à croire ce qu’il disait. Comment cela pouvait-il être possible ? Tous sorciers que nous étions, ressusciter des morts me semblait trop gros. Comme pour confirmer mes doutes, le ministère nous a envoyé Ombrage. Au début, j’étais enthousiaste. J’ai très vite déchanté. Encore plus quand mon frère s’est fait punir et a dû copier ces horribles lignes avec cette horrible plume. C’est en partie pour ça que j’ai rejoint l’AD. Pour résister à l’emprise de la vieille folle au tailleur rose. Je ne croyais pas forcément plus Harry, mais c’était l’occasion d’enfreindre les règlements d’Ombrage et d’apprendre des sortilèges utiles. Et là, tout a changé. A la fin de l’année, Il est revenu. Cette fois, il n’était plus possible de ne pas y croire. La peur a saisi le monde des sorciers, mais l’espoir était toujours là, entretenu par des sorciers comme Dumbledore. Et la vie a continué. Jusqu’à cette nuit-là.  Mais j’étais loin de m’imaginer que cela ne serait pas le seul événement qui se produirait. J’étais loin d’imaginer à quel point ma vie allait être encore plus ébranlée.

« Bonjour… Tu dois être Adaline ? C’est un peu difficile à annoncer mais… Je suis ta mère ». Debout à moitié appuyée sur la porte en bois de notre demeure familiale, je regardais la femme qui se tenait devant moi. Que. Quoi ? Sur le moment je n’ai pas compris. Ce n’est que plus tard, quand mes parents m’ont appris que j’étais une enfant adoptée que j’ai compris. Ils m’ont raconté qu’ils n’arrivaient pas à avoir d’enfant et qu’un jour, l’une des infirmières de Sainte Mangouste était venue trouver mon père en lui disant qu’on avait déposé un bébé à l’hôpital. Une petite fille attendant justement d’être adoptée et aimée. Une petite fille abandonnée. Ma mère, une sorcière issue d’une bonne famille était tombée enceinté beaucoup trop jeune, d’un garçon qui n’était pas assez bien pour ses parents (moldu). Elle était jeune, paniquée et elle a pris une décision qui lui semblait être la meilleure pour tout le monde. Donc en plus d’être étreinte par la peur du seigneur des ténèbres, j’ai passé mes deux mois d’été à me poser des questions sur ma vie, sur la vie que j’ai vécue, sur les raisons qui ont motivé mon abandon, bref. Et pendant ce temps, j’ai fait face au duel qui se déroule entre mes deux mères. Et face à un petit frère complètement laissé de côté face à cette situation complètement surréaliste. Et j’ai été forcée d’accepter une dure réalité : ma vie ne sera plus jamais la même.

Et toi ? Coucou moi c’est Frost, Ady ou Lili. Comme vous préférez ! Je suis arrivée ici en … harcelant les co-fondas du forum Je ne pensais pas que Minerva aimait les croquettes au saumon, parce que ça sent franchement mauvais ce truc !