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 ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina

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AnonymousInvité

MessageSujet: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 12:14

   

Valentina Giulia de Médicis


   
36 ans
Ministère de la Magie
Directrice du Département de la Coopération Magique Internationale
Sang mêlée
Feat. Adriana Lima

Caractère&Physique

Me décrire ? Hmm, très bien, je vais essayer de ne pas me lancer trop de fleurs... (Qu'est-ce que je suis humble !) Je viens d'une grande lignée de sorciers au sang-pur, du côté de mon père. Une famille italienne noble qui prône encore et toujours la pureté du sang, la seule en Italie d'ailleurs. Nous sommes potionnistes et politiques de génération en génération. Je suis brillante en la matière, meilleure que ma petite sœur jumelle. Ma mère, elle, est une irlandaise, une sang-de-bourbe, une femme dont mon père est tombé très amoureux, la seule chose pour laquelle mon père s'est réellement battu. Nous avons été, ma fratrie et moi, dispersées dans différentes écoles. J'ai insisté pour aller à Poudlard avec ma sœur que j'aime... c'est ironique.
Si je devais me décrire physiquement, je dirais que je suis de taille moyenne, je possède de très longs cheveux de jais, les mêmes que mon père, un teint halé, aussi emprunté à mon père et une taille de guêpe dont je suis très fière. La seule chose qui prouve que je suis bien la fille de ma mère se sont ses yeux gris lunaire. J'avoue que mon physique n'est pas désagréable à regarder et j'en joue beaucoup. A première vue, les gens me jugent facilement et pensent que je suis une idiote qui ne pense qu'à ses talons douze centimètres et son association rouge à lèvres-vernis. Ce n'est pas pour me déplaire, plus je suis sous-estimée, mieux c'est.
En fait, je suis très rusée et perspicace, même si je n'arrive jamais à trouver le juste milieu. Disons que je suis toujours dans les extrêmes. Je suis plutôt extravagante, spontanée, je n'ai pas vraiment ma langue dans ma poche. Je suis sans filtre et ça ne plaît pas à tout le monde. On pourrait presque me croire sympathique, mais j'ai plus de défauts que de qualités. Je me trouve être très susceptible et impulsive, prendre tout à cœur me laisse difficilement de marbre et j'ai tendance à souvent m'emporter, ce qui me rend dangereuse. Il faut ajouter à cela mes caprices, mes remarques acerbes et ma provocation qui font que de me supporter tous les jours est très difficile. Mais personne ne me connaît réellement en profondeur, car je suis très secrète et solitaire. Je n'ai jamais vraiment eu d'amis et j'ai un lien chaotique avec ma famille. Peut-être que si quelqu'un apprend à me connaître, il serait surpris, qui sait ?

Anecdotes diverses


- Elle ne supporte pas qu'on lui donne de petits surnoms stupides, du genre Lili, Val ou ce genre de chose. C'est faire croire aux autres qu'on la connaît, ce qui n'est absolument pas le cas. Mais le surnom qui peut la faire entrer dans une colère noire, c'est Gigi, le surnom que ça soeur jumelle lui donnait, quand elles n'étaient encore que des enfants.

- Elle adore les fleurs, une passion qui lui vient de sa grand-mère, à qui elle ressemble comme deux gouttes d'eau, c'est son portrait craché - elle porte d'ailleurs son prénom, Giulia, et possède sa baguette.

- Valentina a un accent irlandais lorsqu'elle parle anglais, son seul professeur fut sa mère. Elle y ajoute parfois quelques mots italiens, compte en italien et surtout, lorsqu'elle s'énerve, son accent italien prend le dessus. Un drôle de mélange qu'on peut trouver horrible ou charmant selon le point de vue.

   

Raconte moi ton histoire


NOTA BENE:
De Medicis, un nom de famille réputé en Italie, car oui, c'est de là que vient Valentina. Nous sommes réputés pour étre de fins politiciens qui agissent dans l'ombre, des souffleurs de stratégies qui ont, selon les périodes, été très appréciés ou à contrario détestés. Valentina est le prénom de notre grand-mère qui fut une femme remarquable par son intelligence, sa ruse et sa poigne : son portrait craché. Giulia a été choisi par notre mère, un prénom à la mode, paraît-il. J'avais, personnellement, l'habitude de l'appeler Gigi. Très peu de gens sont au courant de ce petit surnom et il est préférable de ne pas l'appeler ainsi, si vous ne voulez pas la voir entrer dans une colère noire. Elle n'est pas mariée... Et elle ne veut pas. Sûrement pas. Elle ne supporterait pas être éclipsée par un homme, elle veut éviter toutes les erreurs de notre mère.

   « - Gigi ? »

Une main froide secouait l'une de mes épaules. Mais je ne bougeais pas. Je me contentais de grommeler en restant allongée sur le ventre et en gardant bien mes yeux clos. Pourquoi fallait-il qu'elle vienne me réveiller tous les matins alors que j'aimais tant dormir ? Être enroulée dans ma couette était l'un des rares plaisirs que j'avais en ce moment, trop occupée à ces stupidités de femmes parfaites qui doit savoir gérer un foyer et se taire tout en restant belle. Certes, il m'arrivait d'être feignante, Babbo me punirait encore durement en me disant que les filles de bonne famille sont actives et se lèvent tôt... Tu parles, moi j'aime dormir et j'y resterai le temps que je voudrais.

« Gigi, lèves-toi,
Babbo vas te tuer ! »

Cette fois je grogne et roule sur mon lit pour regarder notre plafond immaculé. Je vois le visage de ma sœur, qui a des airs du mien. Nous sommes jumelles mais nous ne nous sommes pas ce stéréotype des sœurs qui se ressemblent comme deux gouttes d'eau. Ses cheveux sont plus clairs, ses yeux sont bleus et son visage est plus rond. Nous avons le même âge et elle paraissait beaucoup plus jeune. Même au niveau du caractère, elle se révélait être une personne beaucoup plus douce et beaucoup plus compréhensive que moi, sans pour autant se laisser marcher sur les pieds. Elle aspirait à une vie tranquille loin des magouilles politiques, elle voulait juste une vie simple. Nous sommes tellement différentes et pourtant, c'est la personne qui me comprend le mieux sur cette planète. La seule qui puisse comprendre pourquoi j'étais aussi dure. La seule qui comprenais pourquoi je prenais autant de distance. Malgré la mésentente entre ma mère et moi, elle ne cessait de vouloir me rassurer, de me dire que je me faisais des idées, qu'elle nous aimait autant l'une que l'autre. Je n'étais pas dupe. Son visage me sourit et je me lève soudainement sans lui rendre le sien, passant une main dans mes cheveux désordonnés. L'exquise odeur du déjeuner me vient aux narines : je la hume un instant tandis que mes paupières tentent de s'habituer à la lumière du jour.

« - Tu devineras jamais Gigi...
- Deviner quoi ? »


Elle est ravie... Beaucoup trop pour que je le sois aussi car malgré notre ancienne complicité, nous ne prenions jamais les nouvelles de la même manière. Mes sourcils se froncent à mesure que son sourire s'étire. Qu'est-ce qu'il peut bien se passer pour qu'elle soit aussi heureuse ? Encore un de ces trucs de princesses parfaites que j'exècre ?

« -
Babbo a avancé la date de la réception à ce soir...

Premier coup de massue, j'étais censée apprendre par cœur les sujets politiques actuels qui seraient au cœur des conversations ce soir là, en plus de tous les hommes importants qui seraient présents à la réception de mon père. Cette technique me permettait de montrer mon savoir et la bonne éducation des Medicis, mais surtout, de me permettre de rester dans les esprits de certains de ces hommes afin de pouvoir me faire une place aussi prestigieuse que celle de mon père dans le jeu politique de Florence. Certains me riaient au nez. Une femme, jouer un rôle politique en Italie ? Foutaises. Bande de machos. Mais je gardais espoir, j'étais faite pour ça. Pas pour faire une rangée d'enfants et faire perpétrer le nom de l'époux. Ma sœur était déjà là pour ça. Le fait que mon père ait avancé cette réunion ne m'arrangeait pas, au contraire, il me mettait dans une situation délicate.

… et ce soir, il nous présente à deux partis très intéressants. »

Deuxième coup qui fut fatal. J'étais sonnée – et mal réveillée. Mon père était prêt à nous marier. Inconcevable. Je n'étais pas prête à me marier, je n'y avais jamais vraiment pensée. Je devais déjà m'occuper de moi-même, je n'allais certainement pas m'occuper d'un homme en lui préparant des petits plats et servant le thé aux invités. Et faire la potiche pour son plus grand plaisir ? Certainement pas.

Je serrais tellement les dents que j'en eu mal à la mâchoire. Ma sœur savait que je le prendrais mal, mais à la voir reculer avec une expression surprise, c'est qu'elle avait sous-estimée ma réaction. La première idée qui me vint à l'esprit, fut d'aller voir mon père pour demander des explications. Mais en entendant sonner huit heure par l'une des cathédrales de Florence, je me rendis à l'évidence : les huit dong de cette foutue cloche me ramenaient à chaque fois plus rapidement à ce soir et je n'étais pas prête à voir les invités sans avoir retenu la totalité des noms importants et de mes sujets. Je m'extirpais tant bien que mal de mes draps en rabattant la couette et courrais jusque ma coiffeuse pour m'y préparer en pestant contre mon père.J'étais tellement concentrée à réviser et discuter avec lui que je ne vis ni ma sœur entrer et sortir de ma chambre pour trouver les meilleurs éléments qui la mettraient en valeur pour ce soir, ni mon père venir vérifier pourquoi le palais était si silencieux et encore moins le temps qui passait trop vite. Il fut vite dix-huit heure et je n'étais pas présentable. Je fus forcée de me préparer par ma sœur qui me prit pour une poupée géante en me coiffant et m'habillant. Elle roucoulait de bonheur, ça me donnait envie de vomir.

Les premiers invités arrivèrent et malgré le peu de temps que j'eus pour réviser, je m'en sortais très bien. J'étais avenante avec eux, riais à toutes les plaisanteries, drôle ou pas, et passais mon temps à donner mon avis en tentant de ne froisser personne. J'avais pris soin d'éviter mon père toute la soirée dans l'espoir de repousser la présentation des partis qu'il nous avait réservé. Je ne restais jamais longtemps seule, toujours happée par une conversation. Mais c'était puéril, je savais pertinemment que je devrais affronter cette situation à un moment donné. Ma mère était introuvable durant la soirée, ce qui ne me fit pas tilter tout de suite et Valencia devait certainement suivre mon père partout, ravie d'avoir enfin le prince de ses rêves.. Ils étaient accompagnés d'un homme très grand, d'un blond comme je n'en avais jamais vu en Italie, des traits durs et une moue intrigante qui vous poussez à en savoir toujours plus sur lui. L'autre était un peu moins grand, des cheveux bruns et des yeux caverneux. Son visage vous donnait envie de lui sourire. Une vielle femme, très petite qui ressemblait à une taupe accompagnait ce dernier. Elle souriait tellement qu'on ne voyait plus ses yeux.

« -Valentina, je te présente Dario Savonarole, il vient d'Italie du Nord, il est cousin du dirigeant de Ferrare.L'intéressé, qui se trouvait être le brun, me fit un signe de tête et je lui souris poliment pour répondre à sa salutation.
- La femme avec lui est sans grand-mère, Adriana Savonarole. C'est une femme très sage qui m'a proposé son petit-fils comme gendre pour Valencia.
- Allons, Cosme, je ne voyais pas plus parfait parti pour Dario que l'une de tes filles ! répondit-elle avant de lâcher une quinte de toux mêlée à ce qui semblait être un rire.

Je jetais un regard à ma sœur qui avait sourit de toutes ses dents à l'annonce de son prénom et qui n'avait pas pu le lâcher. Elle était à la fois ravie et stressée, ce qui donnait un sourire plutôt crispé et pas du tout naturel. Mes yeux bifurquèrent vers le grand blond qui semblait être mon prétendant.

- Et pour finir, voici Irial Gancanagh, un gentleman qui nous vient tout droit d'Angleterre
- D'Irlande, corrigea-t-il.
- Oui, d'Irlande. Il a étudié dans beaucoup d'universités d'Europe, donc celle de Paris et de Bologne, en droit magique. C'est un homme intelligent et remarquable.

L'homme rit avec mon père et attrapa ma main pour y déposer un baiser.

- Ravi de faire votre connaissance,
belissima.

- Je ne me sens pas très bien, ce soir,
Babbo. Je pense qu'il est préférable de m'allonger, bonne soirée. »

Je pensais que de leur faire comprendre, à mon père et lui, que je n'étais pas satisfaite et que je n'acceptais cet arrangement leur calmerait leurs ardeurs, mais il n'en était rien. Babbo était furieux contre moi et nous nous disputions sans arrêt. Il me forçait la main en invitant chaque semaine mon prétendant. Et chaque semaine, je restais cloîtrée dans ma chambre. J'inventais des excuses pour ne pas me marier, comme le mariage à ma sœur qui arriverait très vite et qui suffisait amplement, le fait qu'il soit étranger et que je ne voulais pas quitter l'Italie. J'avais bien compris qu'il ne lâcherait jamais l'affaire et qu'il me ferait l'épouser coûte que coûte. Mais j'étais têtue. Ses venues étaient de moins en moins fréquentes jusqu'à ce qu'il ne vienne plus du tout. Mon père avait dû chercher un autre parti pour moi mais avoir été aussi impolie m'avait portée préjudice. Personne ne voulait de moi et aussi important soit-il, personne ne voulait contrarier Irial à épouser le parti qu'il avait voulu et qu'il n'avait pas réussi à avoir.



Elle a la potion dans le sang, comme toute ma famille c'est un don, mais on ne gagne pas vraiment sa vie avec ses passions. C'est en tout cas ce qu'on croit chez nous. Elle a été élevé par mon père, un homme strict, avec des a priori un peu dépassé. Il lui a refusé d'aller à Poudlard et à fait son éducation magique à la maison... Ce qui a fait d'elle une personne très secrète et solitaire : elle a beau paraître sociable et agréable, ce n'est qu'une façade. Enfin... C'est une personne complexe. C'est certainement son don d'empathe qui l'ont rendu aussi dure que mon père. Gigi est une fille égoïste, manipulatrice, qui aime provoquer et qui ne prend absolument rien au sérieux. Elle est trop méfiante et est sans scrupule, Valentina est excellente lorsqu'il faut jouer un rôle. Elle n'aime qu'elle-même mais il faut comprendre qu'elle a été bridée par notre père. Avant qu'il lui apprenne la politique, c'était une femme pleine de vie, curieuse, qui voyait le beau en chacun de nous. Elle était loyale et pleine de valeurs. Quand on creuse un peu, on peut retrouver ça chez elle.

Je retenais mon souffle à l'instant où ils passaient la porte. Valencia, qui était plongé dans un livre, comprit que quelque chose n'allait pas lorsqu'elle croisa mon regard. Je fermais les yeux quelques secondes et lorsque je les ouvrais, ils étaient baignés de larmes. Je n'arrivais pas à contrôler ce qui se passait en moins : cette vague d'émotions était si forte que j'avais l'impression d'étouffer. ça me prenait les tripes et je m'imaginais déjà que me les retirer serait certainement moins douloureux. Qui avait pu me faire aussi mal ? Mes mains tremblaient et je ne pus retenir un sanglot déchirant tandis que la voix de mes parents s'élevait dans le palais. Je passais l'une de mes mains sur mon visage pour essuyer le flot de larmes qui mouillaient mes joues et en regardant autour de moi, tous ces objets que je ne regardais plus durant des années reprenaient vie, non plus pour me rappeler de doux souvenirs mais pour me déchiraient chacun leur tour un morceau de mon âme. Etait-ce vraiment la sensation que je ressentais ? La moitié de ces objets m'avaient toujours été inconnu et pourtant, en regardant certains d'eux, je m'imaginais des éclats de rire entre deux rayons de soleil ou un sourire désolée sous la pluie battante.
Je me mordais furieusement les lèvres pour éviter de laisser échapper de nouveaux sanglots mais ce n'était qu'une question de secondes avant de craquer à nouveau. L'atmosphère était à la fois lourd et glacial. Tout est sinistre et affreux, et toutes ces bonnes sensations que je ressentais, toutes ses émotions agréables qui me faisaient vivre, elles me laissaient un goût de cendre en bouche : j'avais l'impression d'avoir été dupée sans comprendre par qui ou par quoi. Malgré la douleur dans ma poitrine, je réussis à me redresser pour rejoindre le hall : la dispute prenait de l'ampleur et je devais comprendre lequel des deux avait une si grande tristesse en lui. Je sentis ma sœur m'attraper un bras et m'attirer doucement à elle pour pleurer sur son épaule. Je laissais les émotions parler tandis qu'un vacarme sans nom provenait du hall d'entrée. J'avais l'impression d'être en deuil. D'avoir donné de moi et d'avoir tout perdu ensuite : j'avais l'impression d'avoir perdue ma capacité d'aimer à nouveau, de faire à nouveau confiance
Plus nous nous approchions de mes parents, plus la sensation était forte. Cette fois, j'étais redevenue une adolescente de dix-sept ans. Et je me sentais stupide, stupide de croire que ça durerait toute une vie, stupide de croire qu'il n'y aurait pas d'orages, encore plus de croire qu'elle m'aimerait encore. Et je me mis à crier de colère, de lui dire qu'elle m'avait trahi, qu'elle m'a fait mal et qu'elle n'avait aucun cœur. Et mon père restait ébahi de voir que ses émotions étaient si justement décrites, que sa pudeur était si facilement bafouée. Et ma mère était sidérée de voir que j'avais compris. Sidérée de voir que je savais et que je vivais l'une des pires choses qu'une personne pouvait ressentir sans même l'avoir vécu : le chagrin d'amour.
Elle détourna son regard de moi pour  brandir sa baguette et faire apparaître une valise. Elle se tournait vers mon père avec un air désolé et lâcha un simple : "c'est lui que j'aime". C'était comme un deuxième coup de massue, pire que le premier, j'avais l'impression de mourir une seconde fois. Je tombais à genoux en me traînait à terre en suppliant ma mère de ne pas s'en aller, en lui disant qu'elle devait certainement faire erreur, que ce n'était que passager, que nos sentiments reviendraient et qu'on s'aimerait comme au premier jour. Et mon père, toujours aussi dur, m'ordonnait de me relever, de garder ma dignité, d'arrêter mes enfantillages. Et quand elle passait le pas de la porte, mon monde s'écroulait tout autour de moi.



La terrible séparation de mes parents l'avait laissé cloîtrée dans sa chambre durant des jours. Elle ressortait tous les sentiments que mon père se tuait de cacher, même s'il nous arrivait parfois de le croiser les joues humides, les yeux rougies, ou de retrouver un bureau complètement dévasté. Au bout de quelques semaines d'électricité dans l'air, Valentina et lui finirent par discuter longuement et tout rentrait dans l'ordre, du moins en apparence. Depuis ce jour, il se tissa un lien étrange et incompréhensible entre elle et lui. Elle changea. Et sa plus grosse erreur fut d'essayer d'être parfaite aux yeux de mon père.

« - Quels sont les trois sorts interdits ?
- L'imperium, le doloris et l'avada kedavra.
- Qui a dit : ❝ Il y a deux manières de combattre, l’une avec les lois, l’autre avec la force. La première est propre aux hommes, l’autre nous est commune avec les bêtes. ❞
- Boccace ?

Je fermais les yeux et étouffais ma plainte lorsque je reçus mon énième coup de bâton dans le dos.

- Qui ?
- Machiavel.
- C'est fou, tu es beaucoup plus productive lorsque tu reçois des coups.

J'étais insolente, mais lui répondre n'arrangerait pas mon cas. Et ce n'était pas mon but. Je voulais qu'il soit fier de moi. Je serrais les lèvres un instant, les sourcils froncés, silencieuse. Mon père me regardait un instant avant de croiser les bras et s'asseoir en face de moi.

- A quoi tu penses ?
- Tu vas te mettre en colère si je te le dis,
Babbo...
- Dis le moi.

Je restais un instant silencieuse, jusqu'à ce que son regard pesant et menaçant me pousse à parler.

- Je pensais à Poudlard... Tous les ans, Valencia revient et en parle. ça a l'air merveilleux... Elle se fait des tas d'amis et moi, je suis toute seule,
Babbo... Tu penses que peut-être, l'année prochaine...

Je n'avais pas vu la gifle arriver. Je restais interdite, subissant la morsure de sa main sur ma joue. Je regardais le sol tandis qu'il me grondait :

- Tu es celle qui me précédera. Tu crois qu'à Poudlard, on apprend à faire les lois ? On apprend à négocier ? A trouver la meilleure solution pour calmer des tensions ? Tu penses que manger tous les soirs à leurs banquets t'aidera à comprendre les problèmes des situations internationales ? Ta sœur est comme ta mère, comprends le. Elle n'est pas faite pour ça, mais toi oui. Relève la tête, cesse de jouer à l'enfant et comporte toi comme une Médicis !

- Pardon,
Babbo. »

Elle arriva à un moment où dire non à notre père était de plus en plus difficile. Elle prit ses jambes à son cou avant que son mari ne sévisse. Valentina était devenue un pilier pour lui, alors qu'il l'avait mal traitée et isolée durant des années. Elle persiste à dire qu'ils sont identiques, qu'il l'avait endurci et que sans ça, son pouvoir d'empathe l'aurait rendue faible et pathétique. Ils finirent par comploter tous les deux. Ils s'enfermèrent dans le bureau de notre père durant des semaines. Les semaines devinrent des mois et s'ajouta à ça de mystérieux voyages.

J'étais stressé, j'avais les mains pâteuses. Je serrais mon dossier contre moi en essayant de tempérer ma respiration et les battements de mon cœur. Mon père et moi avions travaillé dur pour réussir à attirer l'attention du Lord. Nous avions fait des pieds et des mains pour avoir un rendez-vous avec lui mais évidemment, on ne le rencontrait pas aussi facilement.

« - Il va vous recevoir dans une minute. »

J'avais eu un rendez-vous, un peu trop court à mon avis, pour pouvoir défendre mon projet ambitieux. Je respirais un grand coup, posais ma main sur la poignet et affichais mon air le plus froid et le plus désintéressé avant d'entrer.
Le bureau du Ministre était dans une pièce large, où le bois de chêne était quasi omniprésent. En comparaison à l'Italie, tout était très terne et ça me donnait le cafard. Je m'éclaircissais la gorge et fis claquer mes talons pour m'approcher du ministre. Gareth Rowle, quel drôle de nom. Je m'apprêtais à m'asseoir lorsqu'il m'arrêta d'un signe de la main. Je pinçais les lèvres pour montrer ma colère mais elle fut vite remplacer par du dédain, de l'ennui profond, une sensation de perdre son temps. Ça commence bien...
Il finit de rédiger son parchemin et me montra enfin le siège pour que je m'assois, ce que je fis. J'attendais qu'il prenne la parole pour ne pas paraître impatiente et faire mauvaise figure.

« - J'ai cru comprendre que vous vouliez le poste de directeur du département de la Coopération Magique Internationale ?
- C'est exact.
- Et vous savez très certainement que vous n'êtes ni de notre parti, ni de pays, n'est-ce pas ?
- Effectivement.
- Alors pourquoi me faites-vous perdre mon temps ?

Je respire un instant, avale ma salive avec cette sensation de profond agacement. Je sortais de mon dossier un parchemin que je lui présentais.

- Ceci est la liste des personnes qui ont fuit l'Angleterre. Vous avez mis leur tête à prix et toutes ces jolies têtes sont recherchées activement dans tout votre pays, n'est-ce pas ?
- Vous voudriez m'apprendre ce que j'ai étiqueté ?

Je lui adresse mon sourire le plus chaleureux en essayant de faire l'impasse sur l'agacement croissant qui remplie la pièce - qui ne serait bientôt plus assez grande pour la contenir en entière.

- Je n'ai pas l'audace et la stupidité de vouloir vous apprendre votre métier, monsieur, bien au contraire. En fait, je voudrais vous aider et faire de mon mieux pour vous aider vous et à tous ceux à qui ça pourrait profiter.

Sous-entendu, au Lord. Je ressens une once d'intérêt qui élargie mon sourire.

- Et comment voudriez-vous faire ça en me montrant votre liste de personnes disparues ?
- La grande majorité de ses personnes se trouvent à Florence, sous la surveillance de mon père dans notre palais. Ce que vous appelez ici manoir.

Je sors à nouveau quelques parchemins de mon dossier que je range rapidement à l'aide de ma baguette et que je lui remets.

- Mon père et moi sommes désireux de faire avec vous et de vous aider à étendre vos idéaux et votre pouvoir. Mais comme vous nous l'avez dit, nous ne sommes que des italiens. Vous ne nous connaissez pas et vous n'allez sûrement pas nous mettre à un poste important. Dans ces parchemins, vous trouverez notre travail sur plusieurs mois. Nous avons dû utiliser des tas de sorts, beaucoup d'énergie et nous avons aussi beaucoup travailler pour pouvoir les trouver. Mais, ce qui nous a pris le plus de temps, Merlin m'en est témoin, ce sont les aveux. Vous saviez que certains sont prêts à être émasculer pour protéger leurs bienfaiteurs ? Mais pour protéger leurs amis ou leurs familles, ils seraient prêts à n'importe quoi. Quoi de mieux de vous donner en mains propres les gens qui vous ont fuit et les gens qui les ont aidé, qui vous ont trahi et que vous voyez très certainement tous les matins dans l’ascenseur du Ministère, à vous faire de grands sourires pour ne pas éveiller les soupçons ?

Mon sourire s'affaissait à mesure que je me penchais sur le bureau pour être plus proche du Ministre qui serrait les dents. Mes yeux étaient pétillants de malice tandis que je lui soufflais mon plan si durement mis en place.

- Parlez de moi à votre Lord, dites lui que je suis entièrement à son service. Laissez moi prendre la tête de ce département. Dans une semaine, vous aurez une livraison des Médicis, des sang-de-bourbes qui pensaient être plus malins que vous. Pour ce qu'il en est des traîtres, vous avez déjà tous les noms dans les documents que je vous ai fournis.

Je restais silencieuse. Il me regardait un instant, alors que je ressentais sa perplexité (ou la mienne ?) avant de mettre le nez dans les documents.

- Certains noms ne nous sont pas inconnus. Mais j'avoue que certains sont très surprenants.

- Je n'ai pas pu rattraper tous les fuyards, mais si j'ai le poste, croyez moi, ce ne sera plus qu'un question de temps. Ma famille a la politique dans le sang, je saurais m'occuper de ce département et en donner la meilleure image qui soit. Des relations avec l'Italie ne sont pas négligeables et si vous m'acceptez dans votre Ministère, je serai assez fine pour vous permettre de bons rapports avec d'autres pays. Voir une extension du Lord dans d'autres contrées. Qu'en dites-vous ?


Je ne sais pas si c'est sa logorrhée qui les a convaincus, le travail fait pour retrouver les né-moldus ou les deux à la fois, mais elle réussie à avoir son poste. Elle prit son rôle très au sérieux, faisant des rapports constants à notre père pour qu'il puisse l'aider et satisfaire le ministre et le Lord.

Et toi ?

Minerva aime les croquettes au saumon, sinon, moi je suis Julie, mon surnom RP c'est Sherinn, j'ai 22 ans, passionnée d'histoire (et de HP hihi) qui habite dans le sud de la France !
   
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Feat : jaime murray
Code Couleur : 416964
Patronus : puma
& You ... : ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina 1483540003-jaime-murray-jaime-murray-37147952-500-250
Baguette : 27 cm, Ajonc, cheveux de Sirène ; Elle est assez rigide et montre la determination de sa porteuse. Elle a été taillée et lissée avec le temps, et Thèo y tient assez. C'est un cadeau de son père le jour où il lui a dit qu'elle irait à Poudlard. La baguette n'aime pas être utilisée par quelqu'un d'autre, et n'arrive pas à lancer des sorts de magie noire comme si elle avait été enchantée.
Metier/Maison : sous directrice du dept de la coop magique
Familier : skädi une salamandre femelle
Gallions : 2763
Theo Falkstog
Theo Falkstog
Ordre

MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 16:56

Bienvenue chef o/*
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Feat : Marie Avgeropoulos
Code Couleur : #6A5ACD
Patronus : Caracal
& You ... : ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina IZVnxNO
Baguette : Tremble | 27cm | Ventricule de cœur de dragon.
Pouvoir : Occlumens / Loup-garou
Metier/Maison : Serdaigle / Poursuiveuse
Familier : Ryûk - Siamois
Gallions : 3126
Emma Rowle
Emma Rowle
Partisan

MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 17:05

Bienvenue officiellement. O/
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AnonymousInvité

MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 17:32

Merci les filles !
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Feat : Devon Bostick
Code Couleur : #AA0F00
Patronus : Chien du Groenland
& You ... : ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina 1427832391-250364devon22
Baguette : Noyer noir , plumes de griffon, flexible
Metier/Maison : Attrapeur de chez Gryffondor
Familier : Furet blanc nommé "Wing"
Gallions : 3143
Juda Y. Snow
Juda Y. Snow
Armee de Dumbledore

MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 17:32

Bienvenue !
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AnonymousInvité

MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 17:34

Merci monsieur Snow !
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 17:56

Bienvenue :D
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 18:19

Merkiiiiiii
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 22:07

Coucou ! coeur

Encore une fois, bienvenue parmi nous !

Avant de te valider, il y a deux petits détails qui me chagrinent dans ta fiche.
Le premier concerne le don d'empathie. C'est un don vraiment très dur : l'empathe ressent tout ce que les autre ressentent, avec la même, la même intensité. La joie, la peur, la colère, et toutes ces émotions avec leur intensité viennent percuter l'empathe. A partir du moment où le don se manifeste, la vie devient plus dure : difficultés à discerner ses propres émotions de celles des autres, donc difficile aussi de se construire soi-même, de se comprendre gnu.
Et tu n'en fais pas du tout état. Même si en travaillant, il est possible qu'elle est réussi à moins être parasité, même à l'âge adulte, elle ressent quand même les vagues des émotions des autres, elle ne peut pas les mettre sur pause. Elle peut éventuellement être capable de le faire de façon ponctuelle mais pas plus. J'aimerais donc que tu développes un peu plus cette partie, pour voir comment ça a influencé et influence toujours sa vie du coup Aiba

Ensuite, il y a un deuxième petit souci. Je n'arrive pas bien à savoir quand ton personnage arrive : est-ce qu'elle arrive quand Voldemort fait son retour (lors de la 5ème année de Harry donc) ou lorsqu'il prend le ministère il y a un mois ?
L'un ou l'autre, le fait qu'elle soit directrice d'un service est un peu gênant. Elle arrive d'un autre pays, sans avoir vraiment de "références" ou d'expériences. Ça paraît un peu gros qu'elle soit prise à ce poste là. Surtout si elle est envoyée pour travailler avec Voldy et qu'il ne la connait ni d'Eve, ni d'Adam.
Du coup je te propose deux solutions pour que ça soit un peu plus cohérent :
1. Elle a fait quelque chose pour gagner la confiance de Voldemort : lui donner des informations d'une très grande importance, réussir un coup de génie, quelque chose de vraiment génialement horrible pour lui (et du coup il faudra nous dire quoi bien sûr) et il lui a accordé le poste de directrice quand il a pris le ministère red.
2. Elle occupait ce poste là au ministère de la magie italien et à la mort de Croupton ou au départ de Fudge, ne trouvant pas ce qui leur convient, ils vont débaucher ailleurs et ils engagent Valentina. Mais cela sous entend aussi que pour gagner ce poste là en Italie, elle travaillait surement depuis un certain temps au ministère, puisqu'on ne devient pas directeur en claquant des doigts (sauf sous le règne de Voldy mais ça... XD).

Dans l'idéal, pour moi, cela serait plus logique que ça soit la première option, parce que recruter une italienne, ça me paraît un peu gros, histoire de nationalité, tout ça gnu

Voilà, ça paraît long mais j'ai préféré bien détailler pour que ça soit clair pour toi coeur
Pas de panique ! ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina 665892655
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 22:14

C'est vrai que j'ai tendance à pas m'étaler mais son père est très dur avec elle justement pour qu'elle refoule tout ça. Donc elle ressent tout, elle est un peu perdue, mais elle le cache. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle suit aveuglément son pôpa Je vais arranger ça.

C'était de mon point de vue, plutôt un accord entre Cosme et Voldy, qui s'arrange pour que si sa fille fait le sale boulot, Cosme a des bonnes relations dans d'autres pays et ça aide... Mais c'est vrai que c'est pas suffisant. Je vais trouver quelque chose... ahah

Merci !
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeJeu 12 Jan - 22:59

Mais le truc c'est que même si son père est dur. Aussi dur qu'il soit ça n'empêche que le flot des émotions est intense... Et que c'est douloureux... Enfin, à mon sens, l'éducation en fait pas tout quoi. Même encore à son âge, elle reste quand même hypersensible aux émotions fortes qui doivent la parasiter et la perturber et de fait ébranler passablement son "masque de contrôle" et sa capacité à le cacher.
Par contre, le fait de suivre aveuglément et de s'en référer à lui, sans avoir vraiment de décision propre, pourquoi pas coeur

Et pour l'accord, j'avoue qu'effectivement, ça me semble pas assez. Voldemort à pas mal de mangemort qu'il connait pour certains depuis longtemps, donc il pourrait avoir placé n'importe qui à cette place là. Du coup, il faudrait enrichir un peu cette partie là, oui Aiba
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Feat : emeraude toubia
Patronus : python
Baguette : Bois d'Aulne, 29cm, Crin de cheval à 8 pattes;
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeDim 15 Jan - 21:12

Bienvenue par ici ! ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina 665892655
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeDim 15 Jan - 23:59

J'espère que cette fois c'est bon, j'espère que ça te plaira ! Désolée de t'avoir embêtée hihi
Amber a été ma source d'inspiration, merci aux nazis et la dénonciation pour le truc que Valentina devait faire pour avoir le poste, j'espère que ce sera suffisant... ahah cuicui

Merci Evaan ! J'adore ton vava ! pedo
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeLun 16 Jan - 14:58

Coucou !

Tout est ok pour moi :)
C'est parfait ! Merci à toi d'avoir fait les modif' elles sont chouettes coeur

Te voilà validé

Tu vas pouvoir aller jeter Valentina dans Londres à la rencontre des sorciers coeur

Maintenant que tu es validé(e), n'oublie pas de passer recenser ton avatar, ton rôle sur le forum (valable aussi pour les élèves) et ton patronus !

Tu peux aussi aller poster ta fiche de lien, ta liste de rp et aller chercher des rps ! Si jamais tu es encore un peu perdu(e), n'hésite pas à retourner chercher ton orientation et à nous contacter par mp !
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitimeLun 16 Jan - 18:30

Merciiiiiiii amour
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MessageSujet: Re: ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina   ❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina Icon_minitime

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❝ La soif de dominer est celle qui s'éteint la dernière dans le coeur de l'homme. ❞ - Valentina
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