Maximilien Naël Nikolas

 

Caractère&Physique Maximilien est un connard. Un connard au sens propre du terme, il aime rabaisser les autres, être toujours irréprochable, tant dans sa façon d'être que sur son physique. l est beau, il le sait, et il aime en jouer auprès de ces demoiselles. "Je t'aime, comme je n'ai jamais aimé personne", c'est sa phrase préférée. Il aime faire espérer les gens auxquels il ne tient pas, il aime les faire attendre, les faire languir et voir leurs espoirs détruits à petit feu. Mais ce n'est que la face visible de l'iceberg, car en réalité, il est sincère avec ses amis proches, et très proche de sa famille. Il est protecteur, drôle, mais il ne réserve ce côté qu'à un nombre de personnes limités. Parfait petit sang-pur, Maximilien a été élevé dans le respect des traditions sorcières, ses parents sont dévoués au Mage Noir, et il l'est aussi. D'ailleurs, il espère avoir un jour la marque des ténèbres sur son bras. Max', mesure environs un mètre quatre vingt-dix. Il est assez mince, quoi que bien musclé. Il prends soin de lui, ses cheveux sont noirs et ses yeux marrons clairs. Il a une mâchoire carrée, et de longs cils qui lui donnent ce regard charmeur. Ses dents sont blanches, parfaitement alignées, et lui offrent ce sourire charmeur dont il aime tant faire usage.

Anecdotes diverses max déteste le goût amer + il n'est pas au courant qu'il a un grand demi-frère + il est proche de ses parents + il est très bon élève + sa mère lui donnait des cours privés avant qu'il n'entre à poudlard + il est fier, de lui, de sa famille parfaite, de son statut de sang pur + lors de ses premiers achats avant d'entrer à poudlard, maximilien a eu l'occasion de choisir un animal : c'est fox, son maine coon gris, qui le suit partout + il a une peur bleue des araignées, depuis qu'il s'est fait mordre, lors d'un voyage en afrique. et oui, il a faillit y rester + lorsqu'il avait quatre ans, il a vu une famille de moldus avec un chiens. jaloux, il a demandé à ses parents d'avoir le même, ils ont refusé. sa crise de colère développa ses premiers signes de magie ; le chien mourut sous les yeux des humains qui le chérissait tant +

 

Raconte moi ton histoire

  Il pleut. Il pleut, et Maximilien est assis, le front collé contre la fenêtre. Il regarde les gouttes d’eau « faire la course ». La maison est calme, on entend que le tic-tac incessant de l’horloge. Paris est bien triste ce matin là, et Maximilien s’ennuie. Quelques unes des gouttes d’eau gagnent, d’autres perdent. Mais Max lui, il n’aime que celles qui gagnent. Le bruit de chaussures à talons hauts résonne derrière la porte de la salle de jeux. Max ne se retourne pas, il pose son doigt contre la fenêtre, suivant sa goutte d’eau préférée. Il sait que c’est sa maman. Il sait qu’elle va entrer, lui demander si tout va bien. Peut-être même lui faire un câlin, puis repartir pendant des heures, revenir, lui dire d’aller se laver, repartir et enfin revenir pour le bercer. Il ne sait pas trop ce qu’elle fait, sa maman, quand elle n’est pas avec lui. Il a bien essayé de le lui demander, mais elle ne lui jamais rien dit. « Tu comprendras quand tu seras grand ». Mais il se sent déjà grand du haut de ses huit ans. La porte s’ouvre, Maximilien ne se retourne pas, il attend que la voix douce de sa mère s’élève dans la pièce. Mais c’est une voix d’homme qui s’élève, et qui fait sursauter Max. Il se retourne vivement, posant ses pieds sur le carrelage. Il n’a pas froids, il porte ses chaussettes préférées. « Maximilien, tout vas bien ? » C’est papa. D’habitude, papa ne vient jamais dans la salle de jeux. Max hoche la tête et se penche sur le côté, il essaie de voir si sa maman est derrière son papa. Il entend les bruits de ses talons hauts, mais il ne la voit pas. « Max, il faut que je te parle. » Papa entre et ferme la porte derrière lui, alors Max sait que c’est sérieux. Il regarde son père et dit d’un ton d’innocent : « J’ai rien fait. » Papa se fends d’un sourire, et il s’installe sur le rebord de la fenêtre. « Tu regardais les gouttes faire la course ? Moi aussi, je faisais ça quand j’étais enfant. » Il tapote ses genoux, Maximilien s’assoit alors, mais ne lâche pas son père du regard. Papa se racle alors la gorge et il dit d’un ton doux : « Je t’ai vu jouer avec la fille de nos voisins, Max. Tu sais que je ne veux pas que tu t’approches d’eux. » Les grands cils du petit garçon battent à toute allure, perplexe. Il ne comprend pas, pourtant, elle est vraiment gentille cette moldue. Pas comme tous les autres, pas comme ceux que papa connaît. « Mais elle est gentille Angélique ! » Papa secoue la tête. C’est à cause de ça, qu’ils ont déménagés à Londres. A cause d’Angélique que Max n’a pas pu finir la course des gouttes d’eaux.


« Serpentard ! » crie le choixpeau après avoir été posé sur la tête du jeune Nikolas. Un sourire fier se dessine sur ses lèvres, il va rejoindre sa table sous les applaudissements de ceux de sa maison. Il bombe le torse, en se posant auprès des grands. Serpentard, c’était la préférée de papa, l’adorée de maman. Ils seraient fiers, ses parents à Max. Fiers de voir leur grand garçon assis là, près d’un des membres de la famille Malefoy, réputée pour son honneur du sang pur. Mais papa et maman ne seraient pas fiers, d’apprendre que Potter est là. Que Potter est à Gryffondor. Maximilien en a presque un haut le cœur, il détourne le regard et dévore l’immense buffet.


La maison à Londres ne vaut pas celle de Paris. Les gouttes ne font plus la course. De toute façon, Max est trop vieux pour les regarder faire la course. Maintenant il s’entraine, il récite des formules, apprends des leçons de potions, de métamorphose, de sortilèges. Il s’intéresse même à l’histoire de la magie, et maman est fière, parce que maman est historienne. Elle aime que son fils soit instruit, intelligent. Les notes de Max sont presque toutes « optimales ». Il est fier, fier d’être la fierté de papa et de maman. Les talons hauts de sa mère résonnent encore dans la maison et arrachent un sourire en coin au jeune homme. Il lève les yeux de ses grimoires et la porte s’ouvre au même instant. « Mon chéri tu es prêt ? C’est la grande année ! » Son sourire est large. Dumbledore est mort, l’école appartient au mage noir. Maximilien en frissonne, et se demande à quoi ressemblera l’année à venir. Il hoche la tête, se lève et s’approche de sa mère. Sa mère qui lui semblait si grande quand il était enfant, lui semble maintenant si petite. Il la serre contre lui, elle a les yeux humides. Max regarde les larmes faire la course sur les joues de sa mère. Il sait que ces larmes ne sont que fierté. Et cette fierté, il fera tout pour la conserver. Son regard dérive sur son bras. Un jour, lui aussi, il portera la marque des ténèbres.


 

Et toi ? Avalon !