i'm sorry for everything δ lisbeth

Lundi 3 Novembre, 12h. Le retour à Poudlard ne s'était pas tout a fait deroulé comme elle l'aurait souhaité. Bon, de base, elle aurait appréciée rester chez Alice en l'absence de celle ci, blottie dans les bras d'Emma, avec Skìrnir entre elles, ou sur ses petits seins oui. Quelque chose comme ça. De base, elle aurait voulu ne jamais revenir, mais il y'avait tout de même cette obligation mentale qu'elle se faisait, il y'avait tout de même ces rares personnes aux quelles elle tenait. Et si elle voyait parfois le visage de la gryffondor tombant sur le sol aprés qu'Emma l'ait achevée, elle craignait que ca n'ait pas été la seule horreur qui puisse avoir eu lieu ce soir la. Ce Week end. Alors oui, elles étaient revenues de toute façon. Et si elle avait senti des regards sur elle, entendu quelques pensées fort peu flatteuses, elle avait cette carapace Luka. Elle restait forte. Du moins elle essayait. Ses doigts etaient accrochés à un pan de sa chemise, et si une ancienne amie a elle, ou quelque chose comme ça du moins, etait en traini de penser qu'elle l'avait décue, c'était le mot qu'elle se repetait sans cesse. Elle ne supportait pas de decevoir les gens Luka, et pourtant sa vie en tière n'était que ça, deceptions sur deceptions.

Alors oui, elle s'était excusée auprés d'Emma, lui murmurant qu'elle la retrouverait aprés, et elle avait quittée la grand salle, peut être un peu trop pale. Emma comprendra. Il y'avait ces pensées qu'elle captait sans cesse, et puis, probablement qu'Emma serait trop occupée à s'occuper de Selwyn de toute façon, Selwyn a la place de qui Luka n'aurait pas aimé être, aprés ce qu'elle avait entendu tout le week end. Soit, elle sorti en trombe de la grand salle alors, essayant de bloquer son esprit a ces attaques de pensées qu'elle ne controlait pas. Et guère concentrée sur les endroits où elle mettait les pieds elle percuta quelqu'un, echappant un petit couinement de panique, avant de realiser que c'était l'une des rares personnes de ce chateau a l'avoir touché sans qu'elle ne passe en crise oui. « Lisbeth » C'était doux comme un murmure, et elle fixa un peu mieux son amie. « Je... » Il y'avait tant de choses qu'elle voulait savoir. « Comment vas tu ? » Mais ça, pour le coup c'était un peu maladroit. Et le chaton qu'elle ne laissait pas s'enfuir de sa besace poussa un miaulement mignon.